Pourquoi les peuples se révoltent ?

 

L'élection de Donald Trump à la présidence des USA n'a pas fissuré la chape de plomb posée par l'oligarchie mondiale sur le socle des « démocraties » occidentales : elle l'a faite exploser !

Quel bras d'honneur adressé par le peuple américain aux élites autoproclamées qui n'acceptent le suffrage universel que lorsque ce dernier est conforme à leurs souhaits ou à leurs intérêts !

 

N'avez vous pas trouvé suspect que sur 200 médias américains, 196 soutiennent Clinton ?

 

N'avez vous pas fait le rapprochement avec le référendum français de 2005 sur la Constitution Européenne et la campagne électorale qui l'a précédé au cours de laquelle 100 % des médias (journaux, radios, télés) avaient pris position pour l'approbation de cette Constitution ?

 

Il ya quelques mois à peine, souvenez vous , en juin 2016, 100 % des médias britanniques accréditaient la thèse que la sortie du Royaume Uni de l'UE équivaudrait à l'Apocalypse !

Pourquoi cet unanimisme aussi béat qu'imbécile ?

 

Parce que ces élites, qui parlent toujours au nom du peuple, mais qui en réalité en ont horreur (les « déplorables » selon Hillary Clinton, les « sans dent » selon notre sous Président) sont les affidés d'une oligarchie mondiale qui depuis plus de 20 ans impose à la planète son modèle marchand totalitaire et la financiarisation de toute l'économie .

 

Prenez le temps de vous informer sur l'identité de tous les propriétaires des journaux et hebdomadaires français (mais c'est la même chose partout ailleurs) : vous comprendrez immédiatement que les soi disant journalistes d'information (que j'appelle, moi, les journaleux) ne sont que les salariés d'une petite caste qui veut toujours plus d'intégration du système institutionnel mondial pour mieux se l'approprier .

 

Savez vous par exemple que sur les 9 principaux donateurs d'Hillary Clinton pour financer sa campagne, : 8 étaient des juifs dont les 5 principaux (cela n'est pas du complotisme mais la froide réalité révélée par un des principaux quotidiens israeliens : le Yediot Aharonot ) Ce qui, au passage, est somme toute réjouissant puisque cela prouve que partout et toujours il ya aura des justes et des gens intellectuellement honnêtes

Avec un tel financement, comment imaginer qu'Hillary Clinton ait pu, si elle avait été élue, mener une politique étrangère contraire aux intérêts d'Israel ?

 

L'élite politique, culturelle, médiatique qui est au pouvoir aux USA et en Europe est redevable de cette oligarchie financière et en dépend : elle ne peut donc promouvoir des idées ou faire l'éloge de personnages qui vont à l'encontre de cette mondialisation « heureuse » dont, jour après jour, elle fait l'éloge auprès de la masse lobotomisée .

 

Ce qui explique le lynchage médiatique qu'a subi le candidat Trump, ridiculisé, moqué, réduit à un pantin pitoyable, ignare, populiste, raciste, homophobe et prédateur sexuel (quand on connaît les turpitudes sexuelles passées et actuelles de Bill Clinton, on reste pantois ! : Bill Clinton a pris, pour des voyages tous frais payés, 26 fois en seulement trois ans le « Lolita Express », l’avion de Jeffrey Epstein, le délinquant sexuel tombé en disgrâce) Source : Daily Mail, du 13/05/2016

Aucun journaliste, en France, aux USA et partout en Europe (sauf sur les sites d'information alternatifs) n'a parlé du programme de Trump, de sa volonté de désengagement militaire et de pacification des relations internationales, de redistribution des richesses (les 65 plus grandes fortunes détiennent plus que la moitié la plus pauvre de la planète, soit 3,5 milliards d'individus), de relancer la croissance et réduire le chômage par une politique de grands travaux etc

 

Et comme par hasard toute cette caste « collabo » s'est tue :

 

a)- sur la situation économique, sociale et financière actuelle des USA:

A ce sujet, 4 chiffres marquants :

• Plus de 102 millions d’américains sont sans emploi

• 47% des américains ne peuvent même plus sortir 400 dollars pour couvrir un simple imprévu )

• la dette publique américaine représente 19000 miliards de dollars soit 103 % du PIB, c'est à dire qu'elle ne sera jamais remboursée alors que la dette privée atteint, elle, des sommets de 29000 milliards.

• 1 $ de croissance du PIB nécessite 4 $ de dette supplémentaire : le crédit gratuit n'a pas incité les Etats à se réformer et a empêché la fameuse « destruction créatrice » chère à Schumpeter .

b)- sur l'obsession belliciste maladive et irresponsable d'Hillary Clinton envers la Russie et les risques de déclenchement d'une 3ème guerre mondiale .

c) - sur le financement (nauséabond) de la fondation Clinton par le Qatar et l'Arabie Saoudite .

d) sur quelques morts « accidentelles » et providentielles d'opposants à sa candidature ou de lanceurs d'alertes (heureusement que Julian Assange est en sécurité à l'ambassade d'Equateur à Londres, même s'il y est reclus depuis 2012)

 

 

Quelles sont les causes de la révolte des peuples ?

 

I) La dérégulation financière des années 1980 et la mondialisation

 

Depuis la dérégulation financière des années 1980, les entreprises se sont retrouvées face à des actionnaires (fonds d'investissement spéculatifs « hedge funds » recherchant des rentabilités élevées )

Elles se sont donc lancées dans une maximisation de leurs profits par une relocalisation de leurs produits dans des pays à bas coût, provoquant une désindustrialisation des pays développés .

 

Tant que la croissance mondiale était au rendez vous, notamment en Chine et dans les pays émergents, le système a fonctionné et les effets de la désindustrialisation étaient compensés par une progression régulière des profits, du pouvoir d'achat et de la consommation .

 

Avec la crise des subprimes en 2007, l'effondrement des banques, l'endettement des états puis la crise des pays émergents de 2012 , les effets négatifs de la mondialisation n'ont pu ni étre compensés ni dissimulés .

 

Désormais le système ne tient que par les injections massives de dollars virtuels créés de toute pièce par la FED (ou d'euros par la BCE) et par des taux d'intérêt très bas voulus par les banques centrales .

 

Il faut savoir que la plupart des états sont en faillite et que les prêts actuels gratuits de la FED ou de la BCE ne servent qu'à payer les intérêts des dettes anciennes !!

 

Alors qu'avant les entreprises empruntaient pour financer des usines, des équipements, bref, des actifs productifs, aujourd'hui. ce même crédit gratuit permet à ces mêmes entreprises de racheter leurs actions, de distribuer des dividendes ou faire l'acquisition de concurrents (depuis Mars 2009, les entreprises américaines du S&P 500  ont employé l’équivalent de 96% de leurs profits  en rachats d’actions et en dividendes, soit plus de 4 trillions de dollars ! )

 

l'explication est simple : le chef d'entreprise n'a plus aucun intérêt à investir, c'est à dire à parier sur l'avenir puisque la machine économique est à l'arrêt et que dans le meilleur des cas la rentabilité de son projet industriel sera moindre que la valorisation de son capital qui se réduit s'il rachète ses actions ou s'il place du cash sur des produits dérivés spéculatifs à haut rendement

 

Ainsi, une part importante de la population à qui on avait vendu le mythe de la mondialisation « heureuse » se sent déclassée , précarisée, exclue, le chômage, la déflation des salaires et la désindustrialisation des vieilles économies occidentales (les fameuses délocalisations) accélérant le sentiment que son déclin est irréversible .

 

 

II) L'impérialisme américain

J'écoutais récemment une émission au cours de laquelle un intervenant révélait que les USA depuis leur création en 1776 avaient été en guerre 223 années sur leurs 240 années d'existence .

Voilà la réalité historique !

Les américains sont intervenus militairement partout, en Asie (guerres du Vietnam et de Corée), en Amérique Latine (les plus anciens d'entre nous se souviendront peut être qu'en 1973 le gouvernement progressiste du président chilien démocratiquement élu Salvador Allende a été renversé par la junte militaire du général Pinochet subventionnée et téléguidée par les USA et la CIA simplement parce qu'Allende entendait s'attaquer aux intérêts américains en nationalisant les banques et l'industrie du cuivre .

Ce coup d'état militaire qui fit 4000 morts et disparus et provoqua l'exil de centaines de milliers de chiliens m'a beaucoup marqué )

D'une façon générale, de 1945 aux années 1980, quasiment toutes les dictatures du monde dit « libre » étaient soutenues par les États-Unis, quand elles n'avaient pas été mises en place par eux. Ces dictatures étaient souvent très brutales, comme celle de Marcos aux Philippines, du régime sud-coréen, des généraux argentins, du Chili, de la Bolivie, du Brésil, de tous les pays d'Amérique centrale, des Duvalier en Haïti, du shah d'Iran, et aussi d'Espagne, de Grèce ou de Turquie.

Depuis les années 80, c'est au Moyen et au Proche Orient que les USA expérimentent leur « savoir faire hégémonique » contre tous les pays qui s'opposent à leurs intérêts géostratégiques, énergétiques ou simplement militaires .

Après l'effondrement de l'URSS et de son système d'alliance, les USA en profitent pour lancer des guerres de prédation et de démantèlement d'état à un rythme soutenu, Afghanistan, Irak, Libye, Syrie

Evidemment ces guerres sont entreprises au nom des « droits de l'hommisme » chers à BHL : après une préparation politique et médiatique savamment orchestrée, le pays ciblé est désigné comme tyrannie sanguinaire et/ou dangereux pour la paix mondiale :

Ah, la fameuse fable des armes de destruction massive détenues par Sadam Hussein , dictateur certes mais laïc et opposé au fondamentalisme religieux qui avait eu le tort (entre autres) d'annoncer sa décision de vendre le pétrole irakien en euros plutôt qu’en dollars .

Aujourd'hui c'est la Syrie et son Président Bachar El Assad qui représentent le Mal absolu (sans parler du coup d'état fomenté en 2014 en Ukraine par les américains -et l'OTAN- contre un gouvernement démocratiquement élu) .

Bachar El Assad, dictateur comme Sadam Hussein mais comme lui lui laïc et opposé aux religieux de tous bords a le tort d'être l'allié de l'Iran et de la Russie (curieusement les journalistes ne relèvent jamais que la minorité chrétienne de Syrie est favorable à Bachar El Assad parce qu'elle sait, elle, que si les sunnites, qui représentent 80% de la population syrienne et qui soutiennent l'EI, l'emportaient , leur extermination serait programmée .

Outre les millions de morts, passés en pertes et profits, et le coût exorbitant des guerres (une partie de la population américaine n'accepte plus d'être sacrifiée pour des conflits qui ne les concernent pas ou plus ), cette politique impérialiste a entraîné la déstabilisation de toute la région du Proche et du Moyen Orient et provoqué les représailles de la part des islamistes les plus radicaux qui ont exporté leur terrorisme aux USA puis chez nous .

L'Europe occidentale doit aujourd'hui faire face à un flot migratoire ininterrompu et incontrôlé et les habitants des vieilles nations européennes, interloqués, se sont vus imposer par des autorités supra nationales non élues donc non responsables devant le peuple (les technocrates de Bruxelles ) l'accueil de centaines de milliers de réfugiés (que la novlangue appelle migrants …) ou prétendus tels .

Accueil dans l'improvisation et l'arbitraire le plus total et au nom, évidemment, de la solidarité et de la compassion ! (aujourd'hui on ne traite pas l'actualité en termes de froide raison mais sous l'angle de l'émotion, c'est tellement plus facile pour envoûter les foules !)

 

Circonstance aggravante, sous le vernis du multiculturalisme dégoulinant de bons sentiments prôné par le Gôochisme étatique et médiatique-, les pouvoirs en place ont accordé aux entrants les mêmes droits qu'aux autochtones mais sans les contraindre à la moindre obligation d'intégration .

 

Le peuple (qui n'est peut être pas aussi stupide que ce qu'on imagine en hauts lieux) a compris rapidement que ces nouveaux arrivants étaient des concurrents au plan économique et social (le gâteau à distribuer est de + en + petit et donc la part accordée aux nouveaux réduit d'autant la sienne)

 

Et sa peur grandissante de l'insécurité liée ou fantasmée à l'arrivée massive de populations musulmanes culturellement différentes (dont une partie au moins est solidaire des combattants djihadistes) lui a fait perdre toute confiance à l'égard d'un système politique dominant qui ne le protège plus .

 

 

III) l'intégration à marche forcée de l'Europe

L'Europe est une utopie flamboyante mais c'est une utopie !

il n'y a pas de PEUPLE EUROPEEN mais des peuples à l'Histoire différente, avec des niveaux de vie différents, des économies différentes, des régimes sociaux et fiscaux différents .

La monnaie unique, l'Euro, est un vice de construction originel .

Trop fort pour les pays faibles , (les fameux PIGS, Portugal, Italie, Grèce, Espagne -Spain-), et trop faible pour les pays forts en tête desquels se trouve l'Allemagne qui engrange des excédents commerciaux colossaux .

 

Et pour les pays faibles, plus le pays s'appauvrit, le chômage augmente et la désindustrialisation s'accélère et plus la mafia bruxelloise exige des restrictions budgétaires, des sacrifices salariaux , une protection sociale moindre , c'est à dire un cocktail explosif entraînant encore plus de chômage, encore moins de pouvoir d'achat et donc de consommation .

 

Cercle vicieux synonyme de déclin et de dépendance totale vis à vis d'un pouvoir supra national (Commission Européenne, BCE, FMI) assurant les fins de mois des vieilles nations en faillite.

 

La construction européenne a perdu de sa superbe puisqu'aujourd'hui elle ne garantit plus aux peuples (qu’elle prétend régenter) ni la prospérité, ni la sécurité, ni la liberté .

 

Et elle a confisqué aux états leur souveraineté : ils ne peuvent plus battre monnaie, ne sont plus maîtres de leurs frontières et les lois nationales ne peuvent pas contredire le droit communautaire qui a primauté sur elles ..

 

Et peut être le pire : l'UE est antidémocratique : le sinistre Jean-Claude Juncker, Président de la Commission européenne, a martelé à plusieurs reprises qu'il ne pouvait y avoir de choix démocratique contre les traités européens …..

 

Il aurait fallu, depuis la première minute, accepter l'idée d'une Europe fédérale impliquant un budget fédéral et des transferts des pays riches vers les plus pauvres ..

Mais personne , pour les raisons indiquées, n'était prêt à accepter le projet fédéral .

 

Et l'Allemagne, qui a toujours été le plus gros contributeur au budget communautaire, a beau jeu aujourd'hui de ne plus accepter d'être la vache à lait de la plupart de ses « partenaires ».

Elle considére, à raison, qu'ils ne jouent pas le jeu en vivant largement au dessus de leurs moyens et qu'ils sont responsables de leur déclin par leur incapacité à se réformer .

 

Il aurait fallu aussi créer entre les peuples européens des liens forts convergeant vers un destin commun : une langue commune, une armée commune, une diplomatie internationale indépendante de l'Amérique .

Or, quand on constate l'hystérie actuelle de la plupart des dirigeants européens à l'égard de la Russie, on comprend que l'Europe est toujours la chasse gardée des américains ..

 

Et quand j'entends, au lendemain de la victoire de Trump, des politiciens européens, dépités et mauvais perdants, affirmer qu'il faut accélérer l'intégration de l'Europe et construire une armée européenne pour contrebalancer la fin programmée du protectorat américain , je me dis (au mieux) qu'ils n'ont rien compris et ils ne comprendront jamais rien -c'est dans leur code génétique- , (au pire ) que le cynisme est la qualité première des élites en place ..

 

 

 

4. l'abandon du peuple par la gauche institutionnelle

Après l'effondrement du communisme à la fin des années 1980 et le triomphe du capitalisme et du libéralisme économique partout dans le monde, la gauche institutionnelle européenne et américaine a dû évoluer dans sa compréhension du « nouveau monde » .

S'étant convertie à la nouvelle « doxa » du tout économique et financier , elle a rapidement compris qu'avec les délocalisations de sites industriels (cf plus haut), les progrès technologiques et la révolution numérique , la part des ouvriers dans la population active allait se réduire inexorablement .

 

Elle ne pouvait donc plus utiliser le levier (has been) de la lutte des classes pour asseoir son leadership sur les « masses laborieuses » et espérer la reconquête du pouvoir politique.

 

Dès lors le héros mythique du prolétaire s'est effacé devant la défense des minorités exploitées (ou prétendues telles) et de tous les « damnés de la terre », le migrant, l'étranger, le black ou l'arabe, le juif, l'homosexuel, ou le drogué etc

« On fit mine d'aimer les Tatares pour se dispenser d'aimer ses voisins »

ROUSSEAU

 

Tout naturellement, la petite bourgeoise de gauche au pouvoir, moralisatrice et donneuse de leçons s'est faite le chantre de la mondialisation, du multiculturalisme, de l'ouverture à l'autre (à condition qu'il soit différent ..), de la lutte contre toutes les discriminations (même celles qui germent dans la tête fêlée des Femen)

Et elle est devenue l'alliée objectif de l'oligarchie mondialiste préconisant la fin des frontières et le brassage des populations !

Bien entendu, le véritable peuple, celui qui est fragile , qui souffre et vit dans l'insécurité (et, prosaïquement, qui n'a rien à faire du battage médiatique orchestré autour du mariage pour tous) , ce peuple oublié, caricaturé, méprisé s'est détourné des partis qui étaient censés le comprendre, le représenter et le protéger .

 

Et s'est rapproché d'hommes et de femmes (qualifiés de populistes par les représentants du système en place, la caricature et la calomnie étant la marque des faibles ) dont il n'était pas proche idéologiquement et culturellement mais qui avaient au moins l'intelligence de parler de ses difficultés quotidiennes et de son mal-être .

 

 

 

Et Maintenant ?

 

L'élection de TRUMP a sonné (provisoirement ?) le glas du rêve de l'oligarchie mondialiste (0,01% de la population) d'un monde sans Etat, sans frontière, multiculturel, où règne sans partage un totalitarisme marchand éhonté .

La victoire de Trump signifie le retour de l'Etat, du Politique qui doit imposer son leadership à l'Economie et à la Finance et non l'inverse .

 

Le monde qui s'annonce est passionnant mais dangereux.

L'ancien s'effondre mais les frontières du nouveau ne sont pas encore dessinées .

Ne boudons pas notre plaisir, les moments d'Histoire au cours desquels l'Establishment vacille sont rares ...

 

Souhaitons que l'espoir suscité ne soit pas de courte durée ...

 

 

 

 

 

 

 

 

Bizarre ….:

 

de monter et on est passé du jour au lendemain de l'Apocalypse donaldienne à l'Eldorado Trumpien ….

L'argent n'a vraiment pas d'odeur !

 

2) dès le lendemain de la victoire de Trump, des manifestations « spontanées » ont eu lieu dans les grandes villes américaines , des « démocrates » certainement affiliés au parti « démocrate » perdant refusant le choix du peuple américain !

Gageons que si chez nous Marine le Pen l'emporte à la Présidentielle de 2017, les mêms causes produisant toujours les mêmes effets, les « progressistes » de tous bords descendront dans la rue pour dénoncer le populisme et s'ériger en rempart contre le fascisme !!

 

« En ces temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire... »

George ORWELL